Postes de guetteur circulaires allemands réalisés en blocs de béton préfabriqués triangulaires
8 février 2020
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8 février 2020
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31 décembre 2018
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23 juin 2017
Munition dangereuse non éclatée laissée sur place ! La photographie est la seule manière de vous présenter en sécurité ce type d’engin que j’ai évidemment laissé sur le terrain.
+ + + NE PAS TOUCHER, DANGER ! + + + [Voir la page Sécurité]
Surtout ne manipulez pas et ne transportez pas ces engins non explosés ! Laissez faire les spécialistes du Service du déminage de votre région.
Gros plan sur l’empennage à 6 ailettes de taille réduite dont la forme préfigure la silhouette des obus de mortiers modernes. Malgré la solidité de ces ailettes au métal épais, l’impact en a tordu plusieurs.
Zoom sur la fusée allongée en laiton
Cette même fusée vue sous un angle différent
Une munition non explosée, non éclatée, se dit unexploded ordnance en anglais (sigle international UXO) voire aussi explosive remnants of war (lit. “restes explosifs de guerre” – sigle ERW) ou encore Blindgänger en allemand (lit. “raté” pour “obus non éclaté”).
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23 novembre 2016
Souvenir de poilu ou artisanat de tranchée, la forme des pliures et des bords relevés de cette fine plaque en laiton (moins d’un millimètre d’épaisseur) font de cet objet un joli petit vide-poche plutôt qu’un cendrier (env. 11 x 9,5 cm).
Zoom sur ce trophée en souvenir de la Grande Guerre au centre du vide-poche : un macaron de boucle de ceinturon allemand à la devise prussienne « Gott mit uns » [Dieu avec nous] (macaron également en laiton ; diamètre env. 4,3 cm).
Vue de dessous de la feuille de laiton.
Une autre vue de ce vide-poche permettant d’apprécier la finesse de cette feuille de laiton de moins d’un millimètre d’épaisseur.
Détail de la soudure à l’étain qui fixe le macaron de boucle de ceinturon « Gott mit uns » sur le vide-poche.
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11 octobre 2016
Munitions dangereuses non explosées et bien sûr laissées sur place ! La photographie est la seule manière de vous présenter en sécurité ces engins que j’ai évidemment laissés sur le terrain. Quel que soit l’état extérieur de la fusée (même lorsque cassée à ras du col de l’engin), ces obus n’en restent pas moins des munitions actives et dangereuses (on a affaire ici à des charges explosives ou pire… à gaz).
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Surtout ne manipulez pas et ne transportez pas ces engins non explosés ! Laissez faire les spécialistes du Service du déminage de votre région.
Celui-ci complet est bien conservé. Il possède même encore des fragments de sa fragile ceinture crantée ayant pu résister aux éléments (car en Zamak, alliage de zinc). La fusée pourtant elle aussi en Zamak est en bel état, sa goupille de sécurité toujours en place. Ces obus de leichter Minenwerfer (abrév. l.M.W.) tous trois, non utilisés, ont échoué sur le gravier de gaize ou la boue de cette petite rivière encaissée au milieu des bois.
C’est sur le lit de graviers de cette petite rivière aux parois escarpées que se trouve ce premier projectile. On retrouve les deux suivants, identiques, un peu plus loin en aval. Bel endroit charmant de la forêt d’Argonne.
La vue du culot montre les 6 trous d’évent et l’amorce centrale non percutée (peu visible ici sous la gangue de rouille).
Quant à sa fusée de type percutante (apparemment ici une « AZ. 16. f. l.W.M. », soit une fusée Mle 1916 pour lance-mine léger), elle possède toujours sa goupille de sécurité (bien rouillée) et on distingue un méplat de dévissage à la base. Sa tête en alliage de zinc (Zamak) doit avoir séjourné longtemps à l’abri des dégradations causées par le gel pour être aussi bien conservée (échappant à la triste « peste du zinc » qui le fait tomber en poussière). Un gant clair est posé dessous pour mieux la distinguer des graviers gris de gaize sur la photo.
Voici un croquis de la fusée allemande « AZ. 16. f. l.W.M. », soit Aufschlagzünder 16 (fusée percutante modèle 1916) für leichte Wurfmine (pour lance-mine léger ; idem leichter Minenwerfer, abrév. « l.M.W. ») [document français d’époque vu sur internet << Liste des bouches à feu avec les fusées armant leurs projectiles >>].
Autre vue en coupe de cette même fusée allemande AZ 16 für leichter Minenwerfer (lance-mine léger, abrév. l.M.W.). Le diamètre du filetage de ces fusées est de 49 mm [source : document français d’époque diffusé sur internet << Liste des bouches à feu avec les fusées armant leurs projectiles >>].
Le second « projo » est découvert un peu plus loin en aval…
L’obus baignant dans l’eau sans doute depuis fort longtemps, la gangue de rouille est malheureusement ici plus importante…
La fusée également percutante (qui pourrait être aussi une fusée « AZ. 16. » ?) semble en bon état avec encore sa goupille de sécurité, mais bien peu visible sur la photo et sous cette rouille.
Quant au culot, les six trous d’évents sont à peine visibles mais on peut distinguer l’amorce centrale non percutée.
La rivière s’évase un peu plus et va nous livrer un troisième projectile…
Ce projectile de 7.62 cm de Minenwerfer léger présente une fusée différente des deux autres. Avec l’obscurité, je n’ai pas de photo détaillée de cette fusée en mauvais état.
Son culot est cette fois plus « propre » que sur les vues des autres obus. Les six trous d’évents sont bien visibles, ainsi que l’amorce centrale (alliage genre laiton) encore intacte, non percutée.
Une munition non explosée, non éclatée, se dit unexploded ordnance en anglais (sigle international UXO) voire aussi explosive remnants of war (lit. “restes explosifs de guerre” – sigle ERW) ou encore Blindgänger en allemand (lit. “raté” pour “obus non éclaté”).
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11 octobre 2014
C’est sous le charme discret du village meusien de Nubécourt que repose l’ancien Président de la République Française, M. Raymond Poincaré (1860-1934). Détail de sa stèle funéraire.
Président de 1913 à 1920 sous la IIIe République, il assuma la lourde responsabilité de chef d’état pendant toute la durée de la Grande Guerre. Voici une photo du Président Raymond Poincaré en 1914 (source Wikipédia, Raymond Poincaré).
C’est en longeant la belle forêt d’Argonne (au sud-est) que je traversai la localité de Nubécourt. Arrêtons-nous alors au cimetière qui entoure l’église Saint-Martin, massive, datant du XVIe siècle.
Traversons le cimetière et contournons l’église pour atteindre le portail de l’enclos ou carré privé de la famille Poincaré.
Là vous découvrez un vaste enclos privé qui contraste avec le cimetière, par son espace, ses alignements de stèles métalliques à plaques de marbre et les hautes haies qui l’entourent. La tombe du Président Poincaré et de son épouse est vers le milieu du côté droit.
Voici la stèle métallique aux deux plaques ovoïdes en marbre blanc : celle de Raymond Poincaré à gauche et celle de son épouse, Henriette Benucci (1858-1943), à droite.
Détail des deux plaques de la stèle sur la tombe des époux Poincaré (Nubécourt, Meuse).
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24 juin 2014
Vous rencontrerez le petit char d’assaut Renault FT-17, premier véritable char de combat moderne et figure emblématique de la victoire des Alliés en 1918, campé dans un angle de la galerie de la cour d’Honneur du Musée de l’Armée à Paris (Hôtel national des Invalides), entouré des superbes collections d’artillerie des XVIIe-XIXe siècles.
Fabriqué à partir de 1917 par le constructeur Renault sous le nom de code de production FT (d’où l’appellation répandue de << FT-17 >> ou << FT 17 >>), ce char de seulement 4,95 m de long sur 1,73 m de large et 2,13 m de haut mais très efficace ne pèse que 6,7 tonnes (comparé aux 12t du Schneider et aux 23,5t du Saint-Chamond !)
Son équipage était alors réduit à deux hommes : le chef de char/tireur et le conducteur. Il est ici armé du canon de 37 mm semi-automatique (l’autre version étant avec la mitrailleuse Hotchkiss de 8 mm). L’astucieuse queue (ou ski) amovible à l’arrière lui permettait de franchir de plus grands obstacles, tranchées, fossés.
Pour en savoir plus :
Char Renault FT 17 au Musée de l’Armée
Char Renault FT-17 sur Wikipedia
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